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lundi, juillet 28, 2008

98- Les cigales stridulent à perpète


Les cigales stridulent à perpète, l’étang flegmatique s’étire, la mer à Napoléon -entre Les Saintes et Fos- est étale, les hommes somnolent à l’abri des saules pleureurs ; le temps s’immobilise. De plus en plus les collègues s'esquivent en douce. Où vont-ils ou ne vont-ils pas? Ma naaraf. Paille, glace et sombrero camarguais. A nous la liberté (l'originale) puis la Liberty (de l'autre côté).